Escale à Bombay 2 (Mumbai, Inde), le dimanche 18 mars 2012.

Durée : du samedi 17 à 8h00 au dimanche 18 à 18h00.

Soleil  Lever : 06h20   Coucher : 18h21  Températures de 26° à 34°  Temps  ensoleillé.

Comme prévu, vers 9h00 nous partons découvrir la ville à pied muni du plan délivré gracieusement par l’office de tourisme présent dans le terminal. Il fait beau et déjà très chaud.

Après avoir éconduit une nuée de chauffeurs de taxis et quelques mendiants  dès la porte de sortie franchie, nous nous apercevons rapidement que ce plan ne va pas nous être bien utile car bien des rues secondaires n’y figurent pas. Difficile dans ce cas de se situer d’autant que les noms à la sortie du port ne sont pas signalés en anglais.  Qu’importe, nous  partons au petit bonheur la chance.

C’est dimanche, il ya peu de circulation ce dont profitent les jeunes pour jouer au cricket (sport national en Inde) dans les rues. Nous voyons s’installer les petits commerces à mesure que l’heure avance. Nous prenons comme critère de déplacement l’animation régnante et nous retrouvons une demi-heure plus tard devant le bâtiment le plus impressionnant et le plus beau de Bombay, la gare centrale.

C’est aux dires la plus grande gare mondiale par son trafic journalier, mais c’est surtout un ensemble architectural extraordinaire de toute beauté. Après avoir passé du temps à observer l’incroyable décoration des façades, nous entrons  ressentir l’ambiance plutôt calme aujourd’hui.

Nous nous dirigeons ensuite vers l’université en nous déplaçant sous les arcades ombragées (mais très sales) d’imposantes maisons coloniales. En face de l’université se trouve un immense parc dans lequel évoluent des centaines de jeunes  principalement au cricket et accessoirement au football.

Nous chercherons en vain Causeway road (artère commerçante recommandée par les guides) malgré les multiples recours auprès des passants.

Lorsque nous revenons en fin de matinée vers la gare, une intense activité règne, toutes les échoppes sont ouvertes, des montagnes de produits très divers sont installées sur les trottoirs. Jacqueline manifeste l’envie de couper court et de rentrer au plus vite. En chemin j’ai cherché sans succès à boire une bière. Pour finir nous avons goûté un excellent  jus de canne à sucre pressé à la demande sur une des nombreuses presses artisanales installées aux coins des rues.

Nous retrouvons le bateau vers 13h30 à la grande satisfaction de Jacqueline qui n’a pas l’intention de programmer l’Inde à la liste des prochaines destinations de vacances.

Nous quittons l’Inde pour le détroit d’Ormuz (pourvu que les iraniens ne le bloque pas d’ici là) et le golfe arabique avec du retard (un passager manquerait  à l’appel). Nouvelle et dernière civilisation avant le retour en Méditerranée.

Nous avons reçu hier des explications sur l’attitude à adopter en cas de rencontre avec des pirates. En fait depuis l’entrée dans l’archipel indonésien des gardes munis de lunettes à visée nocturne veillent la nuit sur le pont 3.

 

 

 

 

 

   

Comments

[Roland]

Oups ! J’ai oublié de vous envoyer ce billet d’humeur pour votre escale à Bombay ! Tant piiiiiiiiiiiiiiis ! Bon puisque vous insistez (n’est-ce pas Richard avec qui je viens de faire notre marche « lundicale »)



Soleil Lever : à l’aube Coucher : en soirée Température : 32° nous aussi (2 le matin, 20 l’après-midi et 10 le soir) (Gérard)mer : peu agité Distance parcourue : depuis chez moi : 270 m (pour aller chercher le pain). Destination : Savone … de Marseille !! (je l’ai pas fait exprès celle-là mais c’est cadum)



Pourquoi ce titre ? Dans un épisode précédent je vous avais demandé de me rapporter un cochon d’inde. Que nenni !

Le cobaye ou Cavia porcellus est l’autre nom du cochon d’inde ; rien à voir avec le pays d’ailleurs, celui-ci (l’animal) est originaire d’amérique du sud et fut introduit en europe par les hollandais comme son cousin, le hamster, dont la femelle ,l’hamster dame, a donné son nom à la ville éponyme (j’ai jamais pu le placer ce qualificatif …).

Après ce moment d’intense culture historico-zoologique, un petit conseil de routard : Impossible de vous perdre dans une grande ville comme Bombay. Mais si c’était le cas, ( ! ! ! ), il suffit de regarder sur le visage d’une indienne (pas la squaw mais une autochtone) : elles ont souvent un « vous êtes -ici » tatoué au milieu du front !

Allez … et comme le dirait une chanteuse yogi : ouvrez grand vos « shakiras » et continuer à nous enchanter de vos textes et photos. (En primaire, vous deviez avoir de super notes en rédaction!)

Bombay-sers de Sausheim (en alsacien : la maison du cochon …. dingue , non !)

Hare Krisna et Vishnou … la paix !..... vous entends-je me dire et bon golf(e) !

Promis .. Je ne polluerai plus votre blogue de co……ries jusqu’à votre arrivée … quoique ?